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Souvenirs du capitaine Desboeufs (1800- 1815)
Pour les passionnés de réalité historique !
Les combats de tirailleurs notamment contre les Autrichiens sont impressionnants ainsi que les dégâts dus à l'artillerie (comme dans Les Pyrénées).
D'ailleurs, ce livre participe à ma réflexion sur les changements à apporter à S&B (il y a encore des scories à enlever pour arriver à plus de réalisme et des mécanismes à modifier ou à inventer pour plus de plaisir ludique).

Salut Thierry.
Merci pour ce lien, livre téléchargé pour mes vacances d'été.
Bonne fin de journée et à plus tard.
Jacques.

« Si tu es tué, tu n'auras plus à supporter ni fatigues ni privations, la mort c'est le repos ; si tu perds quelque membre, une retraite honorable assurera ton existence ; si tu n'es que blessé légèrement, c'est une bagatelle ; tu n'as donc rien à redouter. D'un autre côté, en combattant avec courage, tu remplis ton devoir, tu sers dignement ta patrie et tu acquiers l'estime de tes camarades. »
Capitaine Desbœufs, page 118 (à la fin de la bataille de Znaïm, 1809).

Remarquable en effet, c'est bourré d'anecdotes et de détails !

Et je trouve l'expression « Mon camarade (...) se leva dans la nuit pour verser de l'eau. Je sortis avec lui dans le même but, » etc. (pages 44-45).

Je connaissais "j'va gâter de l'iau" (en Ille-et-Vilaine). Dans les deux cas ça évite de choquer la bonne pudeur en disant "pisser"...
("uriner" n'étant guère utilisé dans le langage courant).

Merci Patrice pour cet intéressant commentaire.
J'avoue que j'ai survolé les passages traitant de la vie, survie, de l'auteur au jour le jour, m'intéressant plus aux scènes de combat.