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Bonjour

Je cherche a savoir comment étaient organisées certaines des unités de la campagne de 1815.
J'aimerais connaitre le nombre de compagnies par bataillons et si les unités étaient sur 2 ou 3 rangs.

Je cherche ces renseignements pour les bataillons de Brunswick, les bataillons Hollandis, Belges, de Nassau et les Hanovriens.

Pour être simple les Brunswicks et les Hanovriens étaient selon le modèle britannique (10 compagnies). Pour les Hollandais,Belges et Nassauvriens modèle français (4 compagnies de fusiliers et 2 d'élites).

Merci, pour les unités de Brunswick j'ai une source qui donne 4 compagnies de guerre . . .
http://centjours.mont-saint-jean.com/de ... 3&nation=6 c'est indiqué qd on regarde les uniformes.

Mais c'est vrai que j'aurais été tenté de les mettre à 10 compagnies comme les anglais.

Salut

Il me semble aussi que les brunswickois sont à 4 compagnies monotypes, sauf leurs bataillons d'avant-garde.

Pour les hanovriens, j'ai lu sur le site cité par Brice qu'ils étaient à 8 compagnies monotypes et en cours de passage à 10 compagnies en 1815 par l'ajout des compagnies d'élite.

Pluche

Fred

4 compagnies administratives = 8 pelotons sur le terrain.
L'infanterie du duché de Brunswick est organisée à la prussienne (comme beaucoup d'autres pays).

Ok, merci de ces renseignements

Thierry Melchior » Mar Avr 21, 2015 9:39 am

4 compagnies administratives = 8 pelotons sur le terrain.
L'infanterie du duché de Brunswick est organisée à la prussienne (comme beaucoup d'autres pays).

En effet comme cela ils vont plus vite en marche arrière qu'en marche avant n'est ce pas thierry

Bonjour Michel,

lepic60 a écrit :En effet comme cela ils vont plus vite en marche arrière qu'en marche avant n'est ce pas Thierry

Décidément, tu ne l'avaleras jamais cette couleuvre !

Au fait, tu sais que je travaille sur le livret « Formations et changements », eh bien, bonne nouvelle pour les Russes, quand ils forment la colonne d'attaque ils gagnent de l'espace devant… contrairement aux Prussiens, donc !

Amitiés et bises à qui tu sais,
Thierry.