Caliente Chihuahua
Publié : Jeu Sep 18, 2014 10:59 am
partie jouée au shako, à sainte geneviève des bois :
Un clou chasse l'autre, pourrait-on dire.
Après Maximilien, Juarez, ou en tout cas celui qu'il a nommé gouverneur de l'état de Chihuahua, ne fait pas dans la dentelle.
Impôts, taxes, autoritarisme …, ce à quoi on peut rajouter la sécheresse et la famine qui en découle, bref, le cocktail parfait pour exaspérer la population.
C'est dans cette ambiance de ras-le-bol qu'un raid est organisé contre un district militaire du nord de l'état.
Le but, rafler armes et chevaux, pour donner aux rebelles de la puissance de feu, et de la mobilité pour faire tache d'huile dans le reste de l'état ; et ensuite le pays entier ?! ...
Mais pourquoi ces gringos venus du nord ont-ils été si généreux en fournissant des armes, certes vétustes, et mis autant d'ardeur pour aider à intercepter le train, l'élément essentiel pour attaquer le poste par surprise ?
Questions sans réponses, et le fort est en vue.
Le train s'arrête... Au lieu du bétail et des paisibles péones attendus, des barbus armés en surgissent devant quelques badauds stupéfaits et tiennent en joue les 2 plantons assignés à la surveillance de la gare.
Premiers échange de coups de feu sur le fuyard braillant à perdre haleine pour donner l'alerte.
La défense, d'abord confuse, s'organise.
Les tirs partent de la gare sur les remparts, et réciproquement.
Malgré leur armement et entraînement supérieurs, les premiers soldats de la garnison à répliquer sont rapidement mis hors de combat.
D'autres, au repos à la taverne, engagent et bloquent un groupe de rebelles déjà infiltrés dans le pueblo.
Les combats deviennent confus. Soudain apparaît sur la colline, côté Est, un chariot dévalant la pente.
Lesté de lourdes pierres, il est suivi de près par troupeau de bœufs meuglant, affolés, poussés par une poignée d'ex-sudistes (les fameux gringos si généreux) hurlant et tirant des coups de flingue en l'air
Un clou chasse l'autre, pourrait-on dire.
Après Maximilien, Juarez, ou en tout cas celui qu'il a nommé gouverneur de l'état de Chihuahua, ne fait pas dans la dentelle.
Impôts, taxes, autoritarisme …, ce à quoi on peut rajouter la sécheresse et la famine qui en découle, bref, le cocktail parfait pour exaspérer la population.
C'est dans cette ambiance de ras-le-bol qu'un raid est organisé contre un district militaire du nord de l'état.
Le but, rafler armes et chevaux, pour donner aux rebelles de la puissance de feu, et de la mobilité pour faire tache d'huile dans le reste de l'état ; et ensuite le pays entier ?! ...
Mais pourquoi ces gringos venus du nord ont-ils été si généreux en fournissant des armes, certes vétustes, et mis autant d'ardeur pour aider à intercepter le train, l'élément essentiel pour attaquer le poste par surprise ?
Questions sans réponses, et le fort est en vue.
Le train s'arrête... Au lieu du bétail et des paisibles péones attendus, des barbus armés en surgissent devant quelques badauds stupéfaits et tiennent en joue les 2 plantons assignés à la surveillance de la gare.
Premiers échange de coups de feu sur le fuyard braillant à perdre haleine pour donner l'alerte.
La défense, d'abord confuse, s'organise.
Les tirs partent de la gare sur les remparts, et réciproquement.
Malgré leur armement et entraînement supérieurs, les premiers soldats de la garnison à répliquer sont rapidement mis hors de combat.
D'autres, au repos à la taverne, engagent et bloquent un groupe de rebelles déjà infiltrés dans le pueblo.
Les combats deviennent confus. Soudain apparaît sur la colline, côté Est, un chariot dévalant la pente.
Lesté de lourdes pierres, il est suivi de près par troupeau de bœufs meuglant, affolés, poussés par une poignée d'ex-sudistes (les fameux gringos si généreux) hurlant et tirant des coups de flingue en l'air