Il s'agit d'un scénario équilibré 1813 en 15mm, une petite bataille générique post Leipzig, où s'affrontent les Français de Pierrot et Michel, les Russes de François et les Prussiens de Mickael dont c'est le baptème du feu. Chaque camp est constitué de 2 brigades d'infanterie soutenues par de la cavalerie lourde et une brigade de cavalerie légère.
les Russo-Prussiens se déploient à droite sur la photo, les Français à gauche: l'objectif du scénario consiste coté allié à tenter d'empecher le passage de la division française, qui de son coté doit tout faire pour percer ce blocus.
L'initative est remportée par les troupes alliées, qui entameront donc le premier tour de jeu.

L'infanterie russe, placée sur la gauche de la ligne alliée progresse rapidement vers le village.

Les troupes françaises de leur coté se pressent vers les ponts et les gués praticables de la rivière.

A l'aile gauche alliée la cavalerie légère de la Landwerh prussienne se prépare au combat contre son homologue française

l'infanterie prussienne elle aussi s'avance vers le centre du champ de bataille, bannières flottant au vent!

très vite, les 3 régiments composant la brigade légère française (1er et 5ème chasseurs, 7ème hussards) engagent les 3 régiments de la cavalerie ennemie....3 combats distincts s'engagent à 1 contre 1, se soldant par une victoire dans chaque camp et un match nul....l'équilibre parfait! la lance des Prussiens a certainement compenser leur moindre qualité au combat.

l'infanterie alliée progresse en masse au centre du terrain, tandis que les batteries se mettent en place pour pilonner l'ennemi.

La batterie à cheval russe se met en place elle aussi, tandis que l'infanterie du Tsar prend possession du village et de ses alentours.

Les Français passent à l'attaque! l'infanterie légère occupe les bois.

La batterie russe fait feu sur les cuirassiers qui se forment en ligne de bataille pour préparer leur charge éventuelle.

De part et d'autre, la cavalerie légère se réorganise, le 7ème Hussards victorieux dans sa charge poursuit seul l'attaque.

Les cavaliers ennemis se font à nouveau face.

Les Hussards prussiens mis en déroute par leurs homologues français tentent de se réorganiser.

Le 7ème Hussards subit un feu de flanc dévastateur de la part de l'infanterie légère prussienne, le mettant en fuite à son tour.

La cavalerie légère française prend elle aussi la poudre d'escampette et tente de se réorganiser.

Vue d'ensemble de l'engagement: Français à droite, alliés à gauche.

Charge hardie du 1er Cuirassiers sous le feu des canons russes, ce qui ne l'empeche pas, malgré les pertes, d'aller cueillir un malheureux bataillon de Landwehr en ligne, et en profitant de son élan, de mettre en fuite le bataillon de soutien qui n'a pas le temps de se mettre en carré.

La charge des cuirassiers en plan rapproché.

Les "gros frères" ont ouvert la ligne ennemie, préparant le terrain à l'infanterie qui va tenter d'exploiter la faille.

Seuls les cuirassiers russes restés en réserve peuvent tenter de colmater la brèche en attaquant à leur tour.

Ils se lancent dans une contre-charge, mais les cavaliers français déchainés et soutenus par leur général les battent et les mettent en fuite; rien ne semble pouvoir arreter cette vague bleue qui emporte tout sur son passage!

Attaque générale de l'infanterie française, qui annonce la phase finale de la bataille, les Français tentent le tout pour le tout, mais les fantassins russes sont très déterminés à tenir leurs positions.

Au bout du compte les Français ont remporter une victoire mineure en ouvrant une brèche dans la ligne de bataille ennemie, mais n'ont pas totalement réussi à l'exploiter pour transformer l'attaque en victoire totale, les alliés ont bien résisté au choc!